Mon parcours ne serait pas ce qu’il est sans les rencontres qui m’ont fait progresser et prendre confiance en moi. Il va sans dire que certaines ont compté plus que d’autres.
Tous mes remerciements à Nathalie Lescop-Boeswillwald docteur en histoire de l’art, critique d’art et directrice de « Partage en terre des arts ». Elle m’a fait confiance, conseillé puis exposé. Elle a écrit et publié un article/critique me concernant « coup de projecteur sur Lutxo ou la génése d’une oeuvre » parue sur le site « Partage en terres des Arts » en 2015. Un autre article est paru dans la revue du même nom en 2016.
Petite pensée pour Jo Caputo, peintre copiste à Soustons dans les Landes, avec qui j’ai partagé des séances de peinture hautes en couleurs et de franches rigolades. Que de bons moments qui m’ont donné l’envie d’aller plus loin dans ma quête….
Remerciements appuyés à Claude Bromet qui a accepté de voir 2 de mes toiles en 2014. Il a estimé mon travail et m’a donné quelques conseils sur l’évolution et les points à améliorer. Il a surtout était un élément déclencheur dans mon évolution en m’invitant à exposer lors d’un évènement qu’il organise chaque année, l’exposition « Reg’Arts », à Saint Léonard de Noblat (87) pour le compte du Lions club international . Cela m’a incité à renouveler l’expérience dans d’autres manifestations telles que le « Festival d’Art International de Parisot » dans le (82) devenu « Festival Jean de la Valette » organisé par Jean-Marie Lopez.
Impossible d’oublier toutes les autres expositions et belles rencontres qui m’ont convaincu de continuer dans cette voie.
Si je suis aujourd’hui artiste peintre professionnel c’est en partie à eux que je le dois. Je suis certain que ma Maman, là où elle se trouve, est heureuse de mon évolution dans le monde de l’art dont elle a fait partie.
Merci à Catherine Seyvaud, ma charmante cousine, amatrice d’arts qui m’a fait rencontrer Claude Bromet. Je lui suis redevable pour ce coup de pouce.
Remerciements à toutes celles et ceux qui d’une façon ou d’une autre m’ont aidé à assumer ma passion pour la peinture.
Je pense bien évidemment à mon épouse qui me supporte au quotidien….et qui ose encore entrer dans l’atelier toujours en « Bazar ».